La galerie photos
Evidemment, impossible d'aller quelque part sans prendre des photos. Vous trouverez donc ci-dessous une sélection d'une vingtaine de photos que vous pourrez les voir en plus grand si vous cliquez dessus.
Et voilà, j'y suis en cette fin d'après midi de dimanche, après un peu plus de 6 heures de route. La présence du festival y est encore plus discrète que les années d'avant avec le prologue du Dauphiné Libéré et un tournois géant de volley-ball sur le Pâquier. Pas grave, je suis là pour régler les formalités administratives, c'est à dire récupérer mon accréditation, faire mes deux réservations quotidiennes supplémentaires (on ne pouvait en faire que 2 sur 4 par Internet à l'avance). Bon, les sacs ne sont pas arrivés, ça explique pourquoi je n'en voyais nulle part. Ensuite, on ne peut que faire ses réservations par Internet. Petit tour par l'e-point où il n'y a pas trop de monde et mauvaise surprise, les séances de la semaine sont toutes en rouge. Incroyable ça ! En repartant, je dirais ce que je pense de cette nouvelle organisation au point billetterie. Là, ils m'assurent que des place vont être mises à disposition dans la soirée. Effectivement, vers 23H, grâce à l'accès Wifi de l'hôtel, je peux faire mes demandes de contremarques supplémentaires pour les journées de lundi à mercredi. Pour les trois autres jours, il faudra attendre. En tout cas, ceux qui n'ont pas Internet vont bien s'amuser à faire la queue à l'e-point puis au point billetterie (à supposer qu'ils aient réussit à avoir quelque chose). Il faudra revoir ça pour 2007.

Pas la grande foule le lundi matin devant Bonlieu, vers 9H. Je suis venu tôt pour ne pas avoir à faire la queue pour récupérer mes précieuses contremarques supplémentaires. Bien m'en a pris vu le monde déjà sur place.

C'est la file d'attente devant le point billetterie de Bonlieu, vers 9H30. Pas mal, hein, surtout qu'elle ne fera que s'allonger avec le temps. OK, ça ne vaut pas celle des années 2003 et 2004 mais je pense que certains regrettent l'année dernière où tout était près avec le badge.
Là, c'est la file d'attente pour le grand public, ceux qui comme Morgan ou Eyefire payent pour la semaine ou pour la journée. Là aussi, il y a eu du changement dans l'organisation, les "non-pro" n'ont plus droit qu'à 3 contremarques par jour. Si cela ne dérange pas trop Morgan qui a du mal à faire plus de 3 séances quotidiennes, c'est un peu léger pour un Eyefire boulimique qui peut tourner sans problème à 5 séances. En tout cas, je suis surpris par le monde qu'il y a ce lundi matin. Déjà, la veille, j'avais trouvé qu'il y avait la foule pour le grand public. Je serais curieux de savoir combien il y en a sur toute la durée du festival.
Maintenant, c'est la file d'attente pour l'e-point. Pas trop de monde pour un lundi à 9H30 mais je peux vous dire que ça n'a pas duré. A noter que pas mal de monde venait avec son portable (pas mal de Mac) afin de profiter de l'accès Wifi gratuit qui était proposé aux festivaliers. En tout cas, faut aimer attendre pour participer au festival. Cette année, je n'ai pas pris de photos des files d'attentes devant les entrées du théâtre de Bonlieu car ça aurait été les mêmes que celles des années précédentes. Il y a des choses qui ne changent pas, heureusement.
Il y avait une dizaine de postes (moitié PC, moitié MAC) à la disposition des festivaliers. Et comme ils servaient principalement aux réservations des contremarques, inutile de dire qu'ils étaient encore plus pris d'assaut que les années précédentes. Venir avec son informatique mobile me semble encore être le mieux mais il faut vouloir se trimbaler la sacoche toute la journée ensuite.

On continue le tour d'horizon de Bonlieu. Ici, c'est le bureau des accréditations. Il y a du monde, hein ! Je suis content d'être allé chercher mon badge la veille, je peux vous le dire. En tout cas, on remarque bien l'absence du fameux sac (des petites affiches prévenaient un peu partout dans la salle qu'ils n'étaient pas encore arrivés).

Ça y est, on est dans la place, Morgan, Eyefire et moi. Dans moins d'un quart d'heure ça va commencer. C'est toujours avec le même plaisir que je me retrouve le lundi matin pour la toute première séance du festival. Les avions commencent à atterrir en masse sur la scène, pas en assez grand nombre au goût de Serge Bromberg, le directeur artistique, qui, comme chaque année, n'hésitera pas à brocarder le public pour avoir été petit joueur.

C'est parti !!! Malheureusement, cette année, le fameux film au lapin permettant de présenter les différents partenaires est assez commun et ne propose rien d'autre qu'une litanie de logos présentés parmi des formes géométriques sans l'amorce d'une histoire. Une petite déception quand je repense à la qualité de ceux vus les années précédentes. Du coup, les "Le lapin, le lapin" se seront fait discrets à toute les séances. Dommage...
Après cette première séance, il est temps de manger nos sandwichs Barnabé© sur le Pâquier. Beaucoup de monde dans un espace restreint car le tournoi de Volley Ball est toujours en cours. Mais ce n'est pas grave, c'est convivial... Comme on peut le voir, il fait plutôt beau en ce premier jour de festival. La température n'avait pas encore trop grimpé ce qui fait que les conditions étaient optimales.
Avec une bonne heure à faire passer avant de s'attaquer à la suite du programme, quoi de mieux que d'aller faire une petite ballade photographique dans les environs. Ici, on voit l'extrémité des jardins de l'Europe et l'île des cygnes. On peut voir dans le fond à gauche le Roc de Chère où j'étais sensé aller faire une promenade touristique. Je n'ai pas pu y aller, tant pis, ça sera pour ma prochaine visite à Annecy, peut-être en septembre.
Là, j'ai essayé d'être artistique. Mais bon, ce n'est pas vraiment concluant tout ça. Pourquoi Minh arrive à faire de belles photos de lampadaire et pas moi ? "Le talent, mon ami, le talent..." semble être la réponse qui s'impose, je le crains. En tout cas, j'aime bien la trichromie de cette photo, à base de bleu, de vert et de noir. Pour être précis, il s'agit d'un des lampadaires des jardins de l'Europe.
On pouvait aussi faire des mélanges de rose et de vert si on voulait, toujours dans les jardins de l'Europe.
Allez, une petite photo touristique. Voici le monument caractéristique d'Annecy : Le Palais de l'Isle (connu aussi sous le terme les vieilles prisons). Entouré par le Thiou, la rivière qui baigne le vieil Annecy, le bâtiment a eu de multiples usages durant les siècles : il a été le palais du châtelain au XIIème siècle, un hôtel administratif quand le comte de Genève s'est installé dans Annecy, le siège de la judicature puis l'hôtel des Monnaies avant de devenir une prison. Il s'agit maintenant d'un monument historique que l'on peut visiter, chose que j'ai faite en bonne compagnie en décembre 2005 (il y a moins de touristes, c'est mieux).
Le vieil Annecy est truffé de petites ruelles et de passages. Avec le soleil de midi, il y a de quoi s'essayer aux jeux de lumière. Par contre, impossible d'éviter la présence de touriste sur les photos, ils sont partout, il y en a partout. Je ne vous raconte pas le temps qu'il m'a fallu pour faire cette prise sans qu'ils soient omniprésents.
Le Thiou qui sert de déversoir au lac d'Annecy traverse donc la ville. Voici un gros plan sur une des vannes du Thiou qui font partie du système de régulation des eaux mis en place par Sadi Carnot, à l'époque ingénieur des Ponts et Chaussées avant de devenir le président de la République que l'on sait.
Et voilà pourquoi cette année les festivaliers n'ont pas à subir l'inconfort de la salle Pierre Lamy, tout le bâtiment est en travaux. Espérons que ça sera pour nous faire quelque chose de confortable pour l'édition 2007. Le lieu est quand même plus sympathique que l'horrible complexe Décavison.
Le mardi, le Pâquier avait retrouvé son aspect festivalier habituel à un détail près. Mais quel détail : il manquait la boule bleue souriante, un vrai scandale.
Moi qui étais tout content de pouvoir montrer une photo de la MJC Novel, j'ai été pris de vitesse par Morgan qui y a été aussi (et après moi en plus, quelle misère). Sur le plan fourni dans l'Essentiel, la salle était loin du centre. Je confirme, c'est très loin... Heureusement que j'étais en voiture, je plains les pauvres festivaliers obligés d'y aller par le bus ou à pied. Cela explique peut-être le faible nombre de spectateurs lors de la projection CMC 4. Mais au moins, on n'a pas besoin de la fameuse contremarque pour y entrer et c'est très appréciable vu les disfonctionnements constatés à ce niveau.
Terminons cette petite revue photographique par le fameux sac et ses cadeaux. Je l'ai récupéré in extremis, juste avant de partir. Admirez ce superbe orange fluo. On n'allait pas être discret avec ça en bandoulière. Outre les publicités habituelles, les indispensables Officiel et Essentiel, j'ai pu avoir un numéro du magazine Studio et le film (édition 40ème anniversaire avec 2 DVD s'il vous plaît) de Mary Poppins. Malheureusement, il s'agit de la version italo-anglaise, ce ne sera pas pratique pour tout le monde. Liquidation d'invendus ? Volonté d'honorer le pays invité de cette année ? Allez savoir. Bah, je ne vais pas me plaindre, je pourrais ainsi me revoir le film.
 


Voilà, c'est tout pour cette année. A 2007 pour une nouvelle édition.